Réveil tranquille 7h30, on sort pour aller acheter des viennoiseries et prendre un café. 9h, on prend un taxi pour l’aéroport, notre vol est à 10h45. 9h20, on fait la queue à l’enregistrement, l’hôtesse nous dit qu’il faut d’abord aller faire vérifier nos bagages à 20 m de là. OK, on les repasse dans un scanner et ils nous mettent une attache plastique rouge, mais il faut également faire la queue, plutôt longue, pour s’acquitter d’une taxe de 10 $, en plus des 100 $ qu’on devra payer sur place. Cette queue n’avance pas, l’heure tourne… On ne stresse pas car de nombreux passagers prennent le même vol. 10h15, enfin notre tour, Amina remplit les papiers pendant que je retourne avec les bagages à l’enregistrement. L’hôtesse ne veut pas me prendre car l’enregistrement est fermé. Je négocie, ça passe ms speed ! Conclusion : 1h30 avant un vol pour les Galapagos c’est pas assez !! Ca doit être ma journée, ma CB ne passe pas au distributeur 🙁 Ras le bol de LCL qui bloque ma carte chaque fois que e suis à l’étranger alors que je prend la peine de les prévenir ! La carte d’Amina passe bien. On court pour l’embarquement qui est commencé.

Vol tranquille. L’avion est désinfecté avant l’atterrissage, archipel protégé. 12h (1h de décalage), nous arrivons au petit aéroport de Baltra, tout près de l’île de Santa Cruz. On récupère rapidement les bagages et on partage un taxi avec des russes car il y a 42 km à faire pour arriver à Puerto Ayora. Tout d’abord, on prend un bus pdt 10 min, rempli de touristes, ça fait drôle! Il nous dépose au bac, 5 min de traversée. Puis une armée de taxis attend, impossible de négocier pourtant on a essayé ! 18$ pour 4. On demande au chauffeur des bons plans sur l’île car les Galapagos sont très chères par rapport au continent.

Il nous conseille l’hôtel Los Amigos ou Salinas et nous dépose à côté. Les russes continuent car ils ont plus de budget. On attend un peu devant Los Amigos car il n’y a personne. La proprio arrive enfin et nous propose 25 $ la nuit. On négocie pour 4 à 90 $. La chambre est sympa, sdb partagée mais y’a personne et salon devant la chambre. On va être bien là ! On patiente le temps qu’elle fasse la chb, une bonne douche, une tenue légère et vamos ! Direction le centre Darwin ! On passe devant un petit endroit où les gens découpent les poissons, c’est hallucinant, un troupeau de pélicans et quelques éléphants de mer essaient de voler des morceaux. On s’arrête ensuite à la plage de la station Darwin, c’est trop tentant de se baigner enfin ! C’est une toute petite plage mais ça ira. On accède ensuite au centre et voyons nos 1ères tortues géantes. Impressionnant ! Puis les iguanes marins, noirs, les iguanes terrestres, jaunes et les bébés tortues 🙂 Une 2è baignade s’impose au retour et oh ! Etienne, Nadia et leurs enfants, le frère du futur marié qui est aussi en famille aux Galapagos.

C’est enfin le côté balnéaire des vacances, on s’offre une bière ds un boui-boui : ah 3,50 $ qd même, c’est plus du double par rapport au continent. Nos « amis » russes passent, papotent mais après qu’ils nous aient fièrement dit qu’ils avaient pris 2 chambres, nous déclinons l’invitation à dîner lol Nous rejoignons la petite famille pour dîner, pas loin de notre hôtel au Garrepata. Ah ouais, 2 plats pas super copieux – 1 bière = 33,70 $, il y a 22% de taxes, 1è fois qu’on voit ça. 22h au lit, fenêtres ouvertes, c’est bon les nuits fraîches quand il fait chaud la journée 🙂

Acheter son billet pour les Galapagos : il est possible de l’acheter en arrivant en Equateur mais en cash ou avec une carte équatorienne. Il faut compter 350-450 $ selon les vols. Ne voulant pas partir avec trop de cash, nous avons décidé de les acheter de France. Il existe un tarif pour les Equatoriens et un pour les touristes. Nous avons trouvé chez Go Voyages des vols à 300 € avec LAN. J’avais testé une combine via Despegar. Les vols sont à moitié prix si on donne des coordonnées américaines et on peut payer par virement car ils ne prennent pas la CB française. Je ne suis pas allée au bout du process de peur d’être redressée à l’embarquement n’ayant pas un passeport US. Lisez les conditions générales, ça peut peut-être marcher car un français a le droit d’habiter aux Etats-Unis…