Après une nuit mouvementée (une chaleur atroce et des moustiques), nous partons visiter le marché Vero O Peso. La 1ère approche de la cuisine Amazonienne commence : il faut slalomer entre des dizaines de stands qui préparent devant nous tous les « délices » du fleuve. Les plats se choisissent directement sur les fourneaux et se mangent sur des tabourets avec les autochtones, c’est top ! Ah je reconnais le truc vert, le Caruru !
Le ventre plein, en route vers le port de Belem. Il y a autant de vautours que de pigeons à Paris !
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