Réveil 7h (vivement une grasse mat !) pour prendre le public boat du retour (50 000). Le petit déj de Novita est aussi bon que le dîner : gâteau, omelette, fruits frais, ça change 🙂 Elle est aussi roublarde que son frère, elle me gratte 25 000 IDR disant qu’elle croyait que j’étais 2 (200 000 au lieu de 175). Je ne me bats pas. Trop bien, des mecs du Bunaken Lodge me portent mon sac. La française aux puces de lit prend le même bateau que nous, on surveille pour que nos sacs ne se touchent pas loll Le ferry part bondé à 9h, on fait la traversée sur le toit. J’ai décidé de partir directement pour Tomohon et j’ai booké une voiture via l’hôtel Célèbes. Tim et Emily, 2 anglais rencontrés chez Lorenso vont partager ma voiture 🙂 (50 000 / 3). Ils doivent aller à l’immigration prolonger leur visa avant, mais le bureau est sur le port donc on passe à l’hôtel poser nos affaires et confirmer la voiture pour 11h. Ils filent faire leurs papiers et moi je vais au supermarché acheter de l’eau et tirer des sous.

11h15, c’est parti pour la prochaine étape.  La voiture me dépose en premier au Onong Palace (350 000 la nuit avec pdj), dans les hauteurs. Super chambre, un bungalow pour moi toute seule avec terrasse et vue. Je suis crevée, je vais me reposer un peu.

C’est le déluge tout l’aprèm donc je prends du temps pour moi : rangement de mes affaires, douche, crème, manucure… Bouquinage, sieste sous ma moustiquaire. Au réveil, je me lance dans une petite lessive, je remonte mes manches et ouhhhh une araignée en sort, elle m’a piquée cette conne et je l’ai ratée.

18h, je vais au resto de l’hôtel pour avoir un peu de wifi. Le boss, Onong, est là, très sympa, avec son petit chien. Il cherche des excursions pour moi, en vain. A Tomohon, le mieux est de louer une moto mais je ne sais pas en faire. Je comptais trouver un.e partenaire, mais l’hôtel est désert. Il n’y a que 2 allemandes ici. Pas grave, je regarde quoi faire avec des Uber (Grab ici). Des frites et une bière comme dîner (67 500). Ma morsure s’est inflammée, ça brûle donc je la montre au proprio, pour être sûre que les araignées du coin ne soient pas trop dangereuses. Non, ça va me confirme t-il. 20h30 au lit, je bouquine en profitant des bruits de la forêt et de la mosquée… Dommage, j’ai oublié mes boules quiès chez Lorenso.