Réveil vers 8h et pdj tranquille. Enfin, c’est sans compter le vieux mytho qui nous dit être le propriétaire du Lonely Planet et vient nous poser plein de questions. 10h30, on part sans rien pour aller visiter le Palacio nacional, sans consigne. Mais il est fermé ce matin et finalement toute la journée, on ne sait pas pourquoi. On repasse donc à l’hôtel chercher nos affaires et on va au magasin Mix up où on peut acheter des places pour le catch (au coin de Madero et d’Isabel la catolica). On prend ensuite le métro, direction le musée Frida Khalo à Coyacan. Il faut le mériter car il est loin du métro mais il est très sympa. Au retour, on passe devant un grand supermarché (normal, on est en banlieue). On fait le plein de sauces chili et de tequila ! Ca va être pratique pour rentrer. On a envie d’une pizz donc on s’arrête dans un centre commercial version américaine, et le gars se plante dans la note dc une part de pizz free !
1h de métro plus tard, nous voici de retour à l’hôtel vers 16h15 pour poser toutes nos bouteilles. On se pose et pas le courage de retourner au Mercado, j’ai encore demain pr ça. 19h, on va voir où attraper le shuttle pour l’aéroport, ça sent la fin des vacances 🙁 Alors, pour prendre ce shuttle, il faut acheter des cartes à charger. On fait pls magasins sans en trouver et finalement y’en a au 7/11. Il est l’heure de prendre le métro pour Balderas et notre combat de lucha libre qui commence à 20h. C’est bien organisé, on a des sièges numérotés. Par contre, ne pas prendre d’appareil photo car ils le confisquent à l’entrée, le mettent ds un gd sac poubelle ds la rue et nous remettent un ticket de consigne, ça inspire pas confiance donc on récupère la carte mémoire. Comme d’hab, des vendeurs proposent tout type de bouffe ds l’Arena. On voit 7 matchs qui vont crescendo avant le grand final. C’est impressionnant, on passe un bon moment. Ca finit vers 23h30, qui a dit qu’il ne fallait traîner ds les rues de Mexico après 21h ? On a 10 min à pied dans le noir pr regagner le métro, on trace grave. Ds le métro, y’a d monde ça va mais re-traçage pour regagner l’hôtel. On se fait engueuler par les flics qui cernent le centre ville car on est dehors la nuit… On n’a pas mangé mais y’a plus rien d’ouvert, tant pis. Minuit, qui a son sac à faire et doit se lever à 4h30 ? 1h, extinction des feux.
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